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FIC 2024 : la communauté cyber bretonne se retrouve à Lille

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Dix-sept exposants bretons seront rassemblés au Forum InCyber (FIC 2024) au Grand Palais de Lille sur un même espace. Sur le pavillon Bretagne (F23), on trouvera 8 entreprises, 2 structures académiques, 5 territoires, l’EDIH Bretagne et Breizh Cyber, le centre de réponse aux incidents cyber de la Région Bretagne. Installées sur leur propre stand, 15 autres entités bretonnes, dont 14 entreprises, graviteront autour du plateau collectif coordonné par Bretagne Développement Innovation. La Bretagne affichera son expertise cyber et sa maturité en matière de structuration de son écosystème. Pour les entreprises qui présenteront leurs solutions innovantes auprès des visiteurs internationaux, cette vitrine de 120m2 offrira une fois encore une belle visibilité et des opportunités économiques.

17 exposants réunis sur le pavillon Bretagne au FIC 2024

Si le nom de l’événement a changé pour devenir Forum InCyber et non plus Forum International de la Cybersécurité, la Bretagne, elle, sera bien au rendez-vous pour la 10e année consécutive. Au milieu du hall principal du Grand Palais à Lille (F23), le pavillon Bretagne fédérera 17 exposants. Il sera occupé pour plus de la moitié par des PME qui viendront valoriser leurs offres et concrétiser des affaires commerciales.

La présence de ces territoires sur le pavillon Bretagne illustre la capacité de la Bretagne à se coordonner pour traiter des enjeux de cybersécurité collectivement.

Afin de valoriser l’offre territoriale en cyber, les 4 intercommunalités afficheront chacune la (ou les) thématique(s) répondant spécifiquement à leur écosystème économique : 

  • Cybermaritimité pour Brest Métropole ;
  • Défense et smart-cities pour Rennes Métropole ;
  • Infrastructures, réseaux et télécom pour Lannion-Trégor communauté ;
  • Résilience du territoire pour Vannes Agglomération. 

À l’instar du CAMPUS CYBER TERRITORIAL, cette mobilisation des collectivités est la parfaite illustration de la maturité de la région quant à la structuration de son écosystème cyber.

15 autres entités bretonnes disséminées aux quatre coins du FIC 2024

La Bretagne sera également représentée en dehors du pavillon par les entreprises suivantes :  

Acceis (Rennes, 35 – stand F25) ; Alcyconie (Saint-Malo, 35 – stand F24) ; Amossys (Rennes, 35 – stand F38) ; Anozr Way (Rennes, 35 – F31) ; Claranet (Cesson Sévigné, 35) ; Diateam (Brest, 29 – stand F20) ; FairTrust (Rennes, 35 – stand F39-11) ; Glimps (Cesson Sévigné, 35 – stand A16) ; HOGO (La Mézière, 35 – stand H21) ; QONFUCIUS (Rennes, 35) ; Rubycat (Cesson Sévigné, 35 – stand F28) ; Secure-IC (Cesson Sévigné, 35 – stand F26) ; Sekoia.IO (Rennes, 35 – stand A17) ; SIB (Rennes, 35 – stand F27), ainsi que l’association France Cyber Maritime (Brest, 29). 

Opération visibilité et networking pour l’EDIH Bretagne

L’EDIH Bretagne participera au Forum InCyber sur le pavillon Bretagne. Ces membres fondateurs viendront tisser les futures coopérations entre régions cyber européennes et donner à la Bretagne une place active en Europe dans le réseau des EDIH cyber.

Deux entreprises bretonnes finalistes du Prix de la Start-Up

Outre son pavillon et ses entreprises exposantes aux quatre coins du salon, la Bretagne aura l’occasion de briller lors des trophées du FIC 2024, dont le Grand Prix de la start-up de l’année. Le pavillon breton embarque en effet deux finalistes : Defants et Daspren.

Déjà prétendante au titre l’an dernier, Defants propose une solution en SaaS (Software as a Service) permettant d’automatiser les tâches et de favoriser la coopération entre les équipes. L’objectif est ainsi de permettre aux prestataires en réponse à incidents d’industrialiser leurs process.

Daspren est issue d’un transfert technologique entre l’Inria et la DGA-MI. La start-up a développé une plateforme de protection des données basée sur l’intelligence artificielle pour déterminer si une attaque est en cours au sein d’une entreprise. 

Elles marchent ainsi dans les pas d’ANOZR WAY. Autrefois passée par le pavillon collectif à l’instar d’autres jeunes entreprises en pleine croissance, la start-up rennaise avait été récompensée pour sa plateforme d’évaluation des risques humains.